Ô toi ! Soleil qui apparaît le matin, "Ra".

Superbes rayons de couleurs, c'est le rêve.

Content que ta chaleur se dissémine, va 

En douceur... Orangé, tu te couches, on rêve... 

 

Soleil, toi qui nous permet de vivre serein,

Sur notre terre, bien sur avec prudence.

Tu  nous bronzes dans la joie, et le délice, 

Sur la mer et dans les rivières du chaud bain...

 

Finement, les périodes montrent la lune 

que tu éclaires, oh! oh! magique soleil...

Alors que nous, dormant, d’un très juste sommeil,                                                                                                                                                                                                                Sommes réveillés dans les rayons diurnes.

 

L'infinité de qualité qui m’échappe,

Mais qui grâce à ces dons que tu as, nous comble.

Bien partagée, comme dit la prière,

Accessible à tous les gens de la terre.

 

L’Homme après quelque temps, découvre ta vie,

Et perçoit, ta capacité à faire,

Les ressources durables de la terre, 

Grâce, à tes rayons, de nouvelles énergies...

Ce matin, la journée est ventée.

L'air frais ! Je viens de me réveiller...

Le ciel est parsemé de nuages 

Qui se déplacent comme un langage.

 

Dans ma frilosité mélancolique, ce temps

Me casse le moral. Les nombreuses images 

Cachent le soleil, assombrissent le paysage 

Triste, sur le chemin au vent...

 

Bonheur ! Que le nuage vite avance, 

L'envie que le ciel bleu se découvre.

Par les rayons de soleil, la température monte.

Alors ma psycho, amène à la jouissance.

 

La chaleur vient, et devient suffisante,

Pour ce temps venteux, ma foi arrogante,

Sous le ciel bleu joli et très varié

Pour la balade, souhaitée de l'été.

 

 

Quand j'étais gamin,  scout, j'étais;

Chantant sur le retour... marchais

Pendant cette journée chaude;

Humide! sous mon sac, corde...

 

Là; temps... journée non entente;

Les nuages noirs qui éclairent et bousculés,

On croit à une soirée rythmé'...

Feux d'artifice enchante...

 

Eh non! la pluie, pas de chance...

Il tonne! le bruit de l'éclair 

Aussi violemment dans la terr'

Nous casse un  peu l'ambiance...

 

Le tonnerre est Impressionnant;

La foudre est bien à éviter!...

Ah! les scouts sont sans peur; chantant

Marchant vers temps ensoleillé...

                              Après la pluie, le beau temps

 La pureté blanche dans cette poudre immaculée...

 

La neig’ met une vibration

Supérieur à l’enfant, qui voit

Les flocons s’envoler; émoi !..

Puis au sol tenir; création !..

 

Le souhait de l’enfant est là. 

Le sol et les prés enrobés,

De cette  poudr’ immaculée,

Ou la luge glisse en bas.

 

Les adultes émerveillés,

Mais angoissés par la glisse,

La fait fondre sur les routes,

et des enfants sont attristés...

 

Mais,elle n’est pas éternelle,

La neige va disparaître,

Et faire grossir les rivières,

Jusqu’à la chute prochaine.

 

Voilà l’avantage majeur,

De vivr’ en tempérée zone,

Là, ou l’hiver nous réserve,

Des conditions de grand bonheur.

 

Bien sur, les plus riches enfants

Part’nt en vacanc’en montagne;

Faire du ski et c’est tentant...

Bon !.. il neige à la campagne... 

 

La nature se réveill'

Après la longue nuit,

Où est bas, le soleil;

C’est le printemps qui suit.

 

Les primevères jailliss’

Dès la sortie d’hiver,

Pendant que les pénis

Érectent en pervers.

 

Des giboulées de mars,

Aux froids caprins d’avril,

Nous discutons aux bars,

En attendant docil'.

 

Ca bourgeonne à tout va,

Attention aux gelées,

Actives aux saints de glac’,

Juste avant la fin mai.

 

Le mois des jours plus longs,

Qui mèn’nt à la chaleur,

Angevine douceur,

De la fin de saison. 

 

Il pleut fort sur Mornant

En cet’ soirée d’été,

On croirait le printemps

Pleinement débridé...

 

Le soleil éclaire

Par son rayonnement,

Cela est pour plaire

A notre entendement.

 

Mais la bise arrivant,

Bientôt nous déchantons,

Car la fraicheur tombant

Infirme les saisons.

 

Des saisons n’ y a plus !

Disait mon vieux voisin,

Avec un peu d’abus,

Dans son délire sain...

 

 

Ce soir souffle le vent

Et tombe la neige.

La brum’ cerne Mornant,

En ce matin, manège.

 

Sur le manteau neigeux,

La luminosité

Eclabousse les yeux,

Il faut se protéger.

 

Le givre  recouvre,

Les vitres des maisons,

Trop inconfortables,

Pour cett’ rude saison.

 

L’homme sans abri,

Crèv’ à petit feu froid,

Sans cett’ mélancolie

Qui berce dans l’émoi.

 

Car le froid engourdi,

Celui qui le subit,

Dans son être transi

Sous les coups de minuit. 

 

 

Ce n’est pas sans émoi

Que je vous entretiens

De ce temps nommé mois,

Qui rythme nos destins.

 

Janvier le premier mois,

Débute par la fête,

Très chaude Saint Sylvestre,

Pendant ce temps très froid.

 

Arrive février,

Ce mois régulateur,

Par son nombre de jours,

Variable s’il en est.

 

Avec ses giboulées,

Mars l’imprévisible,

Sous l’averse mouillée,

Et printemps accessible.

 

Avril et ses capric’,

Pas d’un fil se vêtir,

Ou ne se dévêtir,

Pour ne pas être pris. 

 

Mai fait ce qu’il te plait

Mais attention lune rousse,

Saints de glac’ en effet,

Polos à la rescousse.

 

Mois des jours les plus longs

Du début de l’été,

La chaleur que c’est bon,

Juin commenc’ à bronzer.

 

La soif ! Mois de juillet,

Excessive chaleur

En sortant du labeur,

Ou partant en congés.

 

Traditionnel départ,

Août nous a marqué,

Par ses campings chargés,

Ses orages épars.

 

Septembre mois d’automne,

Des feuilles qui jaunissent

Ou  de celles qui rosissent,

Qui tapissent et détonnent

 

Octobre transitoir’,

Entre douceur et froid.

Anonym’ sans histoir’

Que ferions nous sans toi.

 

Novembre déjà froid,

prémices de l'hiver

Des soirées austères,

À l’abri sous les toits.

 

Décembre arrive enfin,

Mois du début d’hivers,

De la neige, enfin !

Noel et la lumièr'.