• SOUVENIRS DE VIE

  •  

    "Je suis né en 1949 à ARC en Barrois 52 "

       (ou j' ai vécu pendant 1 an...)                        

      

    Je suis né à Arc en barrois,

    Après mon frèr’, un soir d’hivers ;

    Je n’avais pas un air narquois

    Et j’avais des pensées diver’s.

                                               

         " Rouvroy/Marne  52"

    A un an à Rouvroy sur marn’.

    Instant de grâce, au printemps, 

    Mes deux sœurs jumelles s’incarn’nt.

    Beaucoups de chocs en ces dix ans...   

                                                

          "Moutiers Saint Jean  21"     

    A onze ans à Moutiers Saint Jean,

    Nous arrivons dans la cote d’or,

    Ou nous allons passer quatre ans,

    Dans le commerce et alors...

                  

               "Poissons  52 "           

    Là, nous arrivons à Poissons,  

    Au lycée je vais à Joinville.

    Je ne le pris pas comme un don ,

    Mais comme une épreuve utile.

     

        "Mes parents à Poissons." -MERCI!

     

                     

                 "Reims 51"                       

    Pendant deux ans à Reims, enfin, 

    l’IUT  me fait mes class's. 

    Puis le DUT à la main,

    A Lyon j'établis ma base... 

      

     


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  •  Incompréhension  (ècole 1961)

    Venus en Cote d’Or dans un petit village,

    Suit’ à une vrai’ reconversion de mes parents,

    A la campagne un soir d’hiver sans nuage ;

    De la nervosité de la maitress’ j’eus vent.

     

    Cela me mis dans une certaine anxiété,

    Et à l’école la peur au ventre j’arrivais.

    N’étant pas en ce temps-là un élève très doué,

    Le regard de la maitresse me paralysait.

     

    Ce qui mettait la dam’ dans une grand’ colère,

    Qui sur ma tète et mes oreilles se défoulait.

    Pour  un voyou me prenait cette mégère,

    Alors qu’un être humain apeuré, j’étais.

     

    C'est la couleur de mes oreilles qui me sauva

    Des sévic’s de la dame que je rendais foll’.

    La confrontation de mes parents suffira

    A apaiser la situation dans l’écol’.

     

    Je  revus cette dame  après ces temps-là,

    Elle avait fondamental’ment  évoluée.

    Je n’ai jamais eu de haine mais un trauma,

    Que j’ai aujourd’hui je le pense apaisé.

     





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  • Voulez vous partager mon abri...

    C’est ainsi en allant                                                         

    Manger au resto U,

    J’abordais cett' enfant,

    Cheminant dans la rue.

     

    Séduit’ par mon dictat

    En ce jeudi pluvieux

    Cett’ beauté accepta,

    Et nous mangeâm’s heureux.

     

    Cette fille sur le fil,

    Attendais dans l’émoi,

    Le pas suivant futil’.

    Mais c’était loin de moi.

     

    Je la croisais ensuit’

    Sur le même chemin,

    Elle vint tout de suit’,

    Très chaleureuse enfin…

     

    A Reims jour de manif,

    En ballade, j’observais,

    Sur elle je tombais,

    Mais je restais furtif.

     

    Le samedi suivant,

    Dans le hall de la gar',

    Je trouve; qui attend,

    La belle près du bar .

     

    Je lui  tendis la main,                               

    La bise, elle attendait,

    Et montant dans le train,

    Ma suite, elle désirait... 

     

    Par la dame apeuré,

    Je montais à-côté

    À-côté, à-côté,

    Pour ne pas affronter

     

    La fille que le destin

    M’offrait comm’ du bon pain.

    Un autre pris cette tendre

    Que je ne sus pas prendre.

     

    Elle me le fit bien voir…

     





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  •  

    Je ne te connais pas,

    Aucun échange de mot,

    Mais,sublime pour mon cas,

    Ce n' était pas trop tôt

     

    Qu'une Bell’ inconnu’

    Devançant mes désirs,

    Accompagnant ma mu’

    Vers mes amours à v’nir.

     

    Nous restions bouche bé’;

    Mais nos corps ont parlés,

    Pendant ce flirt dansé,

    Qui me fit décoller.

     

    Décoller, transformant

    Mon état vibratoire,

    Qui m’était inconnu,

    Jusque là dans la vie...

     


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  •  

    Première histoire Lyon -29 mars 74

     

    Ô, ma première d' histoire d'amour 

    Que je connaisse à Lyon pendant ce jour,

    Vendredi, la veille d’un week-end de fou,

    Le jour du décès du grand Pompidou.

     

    Licencié de chez Brand, je viens d’être.

    Par Sigma diesel, je suis embauché... 

    Le deuil programmé me fait accélérer,

    L’aventure au dancing, la première ! 

     

    Cette histoir' me permit de fréquenter

    Une personne qui me fit évoluer

    Par ses exigences féminines,

    Et sa sensibilité câline.

     

    Cette formation programmée d’ailleurs,

    M’a appris l’exigence opposée.

    Que j’ai un soupçon conservé’ sans leur’,

    Mais j’ai encore un peu à bosser.

     

     


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