• Mise à demeure

     

    Fin deux mille huit est une mise à demeur’

    Que l’au-delà me fit à ce moment

    La possibilité de changement

    De lieu de rôle d’une nouvelle demeur’

     

    Mon sentiment primaire de Fanfan,

    Me fit trouver précoce cette décision,

    Par rapport à ma femme et mes enfants,

    Et permis, j’espère cette conversion.

     

    Dès, deux mille neuf en maison de repos,

    Je subis le traitement me soignant ;

    Le moral assez bas, ma foi trop tôt

    Habitant avec des êtres souffrants.

     

    De retour à l’hôpital pour bilan,

    Je subis les pressions nécessaires,

    Pour expliquer la source du talent

    Qui attela ce rôle non-précaire…

     

    À la maison de retour, je suis là.

    M’adaptant aux nouvelles conditions,

    Positives que l’on trouve dans ce lieu-là,

    Et s'adapter, température et soins…  

     


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